L’arroseur arrosé. « On a toujours cru que le flux était unidirectionnel : qu’il y avait une
contamination des rejets de l’Homme et des animaux vers la mer mais il y a aussi à considérer un potentiel effet boomerang venant de la mer », alerte Fatima M’Zali, directrice d’Aquitaine Microbiologie et directrice scientifique du projet Aqui-Litt (lire encadré). Un lien a été établi entre les Vibrios (bactéries marines prédominantes) et celles observées chez des patients du CHU de Bordeaux, partenaire de cette étude « Une Santé » (One Health).
– par Elsa Provenzano, Publié le 23/02/22 sur 20minutes.fr